Terra Apocalyptica
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Un monde futuriste aux portes de l'Apocalypse... Lucifers, Filles de Feu ou Humains, soyez Maître de votre Destin !
 
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 Gabriel Cardian

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Gabriel Cardian

Gabriel Cardian


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Date d'inscription : 23/03/2008

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MessageSujet: Gabriel Cardian   Gabriel Cardian Icon_minitimeLun 24 Mar - 11:33

.:: FICHE CIVILE ::.


Nom : Cardian
Prénom : Gabriel
Age : 38 ans
Catégorie : Lucifer
Métier : Gabriel exerce le métier d'artificier, principalement pendant des rencontres sportives ou des fêtes foraines. Il ne fait pas parti d'une troupe, se contente d'offrir ses services aux autres artificiers. La plupart du temps, c'est au grand plaisir de tout le monde.
Origines : Un peu partout. Il est difficile de trouver une source, sa vie n'est faite que de témoignage et on ne retrouve aucune indication dans les fichiers administratifs. C'est une Ombre, c'est une marque. Officiellement, il n'existe pas.
Famille : En cherchant un peu, peut être pouvons nous lui trouver une mère, décédée, et un père en tôle pour violence conjugale. Ajoutons à cela une soeur jumelle que les années ont drogué au malheur et au désespoir, et qui se laisse dépérir dans la maison de campagne de la famille. Mais minou se porte bien : il n'a pas pris une ride.
Signe Particulier :
[X] Fume des cigarettes à la fraise. Lorsque plus de fraise, se contente du chocolat.
[X] Aime regarder passer les choses, les gens. S'asseoir sur un banc et ne rien faire est une de ses activités favorites.
[X] A des manières un peu moins classe d'en finir avec les créatures qu'ils détestent. Gabriel choisit soit le pétard, soit la barre de mine, soit la torture. Il hait profondément les armes à feu et la satisfaction d'un travail fait sans originalité. La nouvelle utilisation des piques d'apéritif au déjà-vu de l'exécution propre.
[X] Joue de l'harmonica. En est vachement fier.
[X] Signe les cadavres de son dicton : "Ad vitam aeternam." [<< A la vie éternelle >>]


Physique : "Il était assis au bord d'la route, près du pont, tout seul. Ah, c'est que j'approchais avec ma charrette alors j’ne l’ai pas vu de près. La grosse Mélanie (nda : une jument, sans doute) avançait pas trop vite et heureusement ! Pasqu'elle a commencé à s'énerver, ma bourrique ! On arrivait au niveau du gosse et pouf ! Elle reniflait bruyamment, comme les étalons au printemps, mais c'était pas l'excitation des mâles ! Alors, bon, moi, j'suis descendu et j'suis allé la voir ma Mélanie. Méconnaissable ! Elle avait les yeux rougis et elle bavait comme une limace ! Y'avait même un liquide bizarre et tout gluant qui s'échappait d'ses nasaux ! J'ai commencé à paniquer ! Le Démon était là, le Démon avait pris ma bête, et il allait me prendre lorsqu'il l'aurait tué de l'intérieur ! Il allait saccager les champs et détruire ma famille ! J'me souviens, y'avait le gosse à ma gauche. Il s'est levé et puis il a posé une main sur mon épaule. Et alors ... j'ai ressenti comme un froid immense. Ouai, il avait les mains froides, le petiot ; mais pas froide comme en hiver ... froide comme la Mort. 'Videmment, j'ai eu peut, alors j'me suis reculé et j'l'ai regardé. Il était ... je ne m'en souviens plus très bien. 'Fin, j'veux dire, p'tete qu'il était beau ou p'tete pas. Mais j'me souviens bien m'sieur ! J'vous jure ! Une aura noire ! On aurait dit un vautour ! Et pis, j'allais lui demander qui il était et c'qu'il avait fait à ma jument, mais j'ai pas pu ! Il a posé un doigt sur sa bouche et ... j'ai eu envie de ... d'aller me jeter dans la rivière la plus proche et de me laisser couler jusqu'au fond."

Propos recueillit auprès de Mr. B., agriculteur.


"Gabriel Cardian ? Connais bien. Un gars plutôt mince et bien taillé non ? Ouai, j'l'ai eu comme client. Et entre nous, il avait de l'affection à revendre, huhuhu ... Hum ? Non, j'le connaissais pas personnellement, il n’est pas resté longtemps dans le coin, à peine quelques jours, mais il venait tous les soirs. A ce que j'me souviens, il était pas grand et pas trop baraqué mais il en imposait. C'était un type qui souriait tout le temps, un grand sourire qu'aurait pu faire fondre plus d'une gamine vierge, alors je n’ai pas bien compris pourquoi il venait ici. M'enfin. C'était un client comme les autres et j'aime bien prendre soin de mes clients. En plus, c'lui ci, il avait un air de pauvre gosse perdu, avec sa petite bouille et ses cheveux bruns en bataille. Tiens, en parlant d'ses cheveux, ils étaient bizarres, y'avait comme des reflets rouges ... ou non, des reflets qu'avaient la couleur du sang. Et puis, il était bien taillé, mais j'l'ai d'jà dit ça il me semble. Bien taillé, c'est à dire que ça c'était un homme comme j'en vois pas souvent. D'habitude, ce sont les mecs de la banque d'à côté qui viennent passer du bon temps avec mes filles - alors je vous laisse deviner le poids en graisse - mais lui ... J'lui ai demandé si il était dopé ou un truc d'ce genre, il m'avait juste répondu en riant que ça avait poussé tout seul.

En plus, vous savez, il avait... Ouai, bien sûr que j'ai vu son visage, j'regarde toujours c'que j'embrasse, pas vous ? Ben ... son visage était fin, un genre de gosse comme je vous l'ai dit ! Il était plutôt bien proportionné, d'ailleurs ; avec toujours ce sourire trop large pour être crédible et son nez ... Ouai, il avait un nez qui s'emboîtait bien contre le mien. Si, si, c'est vachement important ! On voit bien ceux qui ne s’y connaissent pas ! Amateur ! De toute façon, ce nez, j'crois qu'il aurait pu s'emboîter dans tout, mais ... y'avait un problème chez ce type. Ouai, il était pas réel, on aurait dit un ange qui se serait accouplé avec le démon et en aurait gardé des séquelles toute sa vie. C'est que je ne vous aie pas parlé de ses yeux.

Z'étaient bordés de cernes, p'tete qu'il était insomniaque, chai pas trop. M'enfin, vous les auriez vu ... y'avait plus de pupille noire que d'iris bleu ! Ils étaient inquiétants, menaçants, avec une sorte de lueur malsaine et perverse qui luisait doucement derrière le masque de petit garçon. Ces yeux ... Je ne voulais pas les regarder, il me faisait peur, vraiment. C'est pour ça qu'aucune de mes filles ne voulait de lui. Elles flippaient. Il avait l'air ... d'être complètement fou. Non, pas fou. Malheureux. Ouai, c'est ça. Malgré le sourire, malgré son air enfantin, toute l'affection qu'il mettait dans ses baisers, ce type faisait peur. Face à lui, surtout dans la piaule, j'avais l'impression de n'être... qu'une merde soumise. J'faisais ce qu'il voulait. Mais le plus étrange, c'est que je n'ai ressenti cela qu'après une ou deux visites. Avant, il m'avait semblé si pitoyable. Bizarre, ce gars, j'vous dit, bizarre."


Témoignage de mademoiselle A.


Caractère : « On sait peu de choses. C’est un homme comme les autres, avec si peu d’originalité que c’en est désagréable. On sait qu’il fait peur et qu’il doit se sentir bien seul pour ainsi profiter des femmes publiques. Mais ce n’est un Lucifer tout ce qu’il y a de plus normal, l’inspecteur ne devrait pas arrêter les recherches. Ni lunatique, ni agressif, les témoins le décrivent comme calme et posé. Voir même un type bien. Plutôt étrange et pas très loquace mais sympathique et souriant. Les enfants s’attachent à lui, les femmes acceptent d’être raccompagnée, les hommes lui serrent la main. Nous cherchons toujours la faille, la petite entaille de son caractère ; nous cherchons la violence et la haine. Mais il semblerait que ce Lucifer ne soit pas gorgé de cela. Au contraire même, les questions que nous lui posons le font sourire, n’attisent pas une soudaine révolte, non. Il reste calme. Et c’est ennuyeux.

Il parle peu, agit beaucoup. Ceux qui l’ont employé dans les fêtes foraines citent un « gosse » plutôt cool et très compétent, qui travaillent vite et bien pour presque rien. Un employé comme on en reverrait, mais sitôt que l’on parle de contrat, il refuse. Certains ici on fait allusion au mariage et toutes ces conneries de Filles de Feu et de Seigneur des Ténèbres que racontent les légendes. Mais je sais que ce type n’est pas comme ça. J’ai vu ses yeux, j’ai sentit la Mort et le Malheur, le Désespoir et la Misère. J’ai sentit qu’il y avait quelque chose, que ce calme cachait bien plus qu’une simple colère. J’en suis sûr, c’était de la haine. Pur et profonde. Un véritable carnage. Personne ne se doutent, mais moi je sais qu’il y a un problème.

On sait peu de choses, hélas. »


Inspecteur B.


Dernière édition par Gabriel Cardian le Lun 14 Avr - 9:49, édité 9 fois
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Reine de Coeur
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MessageSujet: Re: Gabriel Cardian   Gabriel Cardian Icon_minitimeLun 24 Mar - 20:30

Voila c'est fait. Par contre, le mec qui garde les portes du Paradis, c'est Saint Pierre xD

(J'espère que la coupure que j'ai faite te convient... Smile)
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MessageSujet: Re: Gabriel Cardian   Gabriel Cardian Icon_minitimeMar 25 Mar - 9:35

Merci.
Oui, j'y ai pensé cette nuit en me disant : "p'tin mais t'es maboule toi ! Retourne faire ton cathé ! xDD"
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Gabriel Cardian

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MessageSujet: Re: Gabriel Cardian   Gabriel Cardian Icon_minitimeLun 14 Avr - 9:50

Histoire :

C’était jour de fête. Au milieu des rires et de la bonne humeur, les bouteilles de champagne se vidaient avec une rapidité incroyable. Un grand ciel bleu s’affichait, les visages n’en étaient que plus rayonnants. On pouvait sentir l’allégresse générale qui se répandait dans les rues aussi vite que la pénurie d’alcool. Sur les trottoirs, les conversations allaient bon train : assis ou debout, les gens laissaient le temps passer en parlant de tout et de rien, en connaissant enfin leur voisin, en rencontrant le petit dernier de untel, la cousine de celui-ci ou la sœur de ce dernier. La grande roue tournait lentement au rythme des rires.
Mais parmi la foule, cependant, un inspecteur guettait. Son grand imperméable noir rabattu sur son corps comme une protection, les yeux cachés derrière de grandes lunettes de soleil, il cherchait l’impertinent qui avait tué en cette nuit de joie et de bonne humeur. Un cadavre, frais, sanglant, celui d’une femme, d’une mère au foyer, venait d’être retrouvé dans les décombres d’une chambre d’hôtel explosée de toute part. Le travail était celui d’un professionnel.

A l’autre bout de la rue, la silhouette noire l’observait depuis quelques minutes maintenant. Au bas de sa cuisse luisait un couteau aiguisé comme jamais. Sur le visage souriant du propriétaire, on ne lisait qu’une seule chose : jouer.

* * *


Rapport de l'inspecteur Brodek concernant le dossier Carnage. (1)
<< Les victimes sont sauvagement torturées avec une précision infinie qui ne permet pas de les identifier. Aucun argent n'est volé, les victimes de sexe féminin ne sont pas violées. C'est un malade.

Il s'agit très certainement d'un tueur en série procédant avec le même mode opératoire : il trace sur la peau de ces jeunes gens "Ad Vitam Aeternam". A la vie éternelle. Et pour le retrouver, nous ne l'avons pas.

Fin du rapport. >>


* * *


« Avec une lente douceur ; Je te perds encore une fois ; Mais je sais la chaleur ; Qui envahit tes doigts ; A cet instant je pleure ; Et je ne sais pas pourquoi ; Je continue d’avoir peur ; De m’en aller loin de toi ; Ma douce, mon âme sœur ; Tu m’éloignes encore de toi ; Et tu sais la froideur ; Qui envahit mes doigts ; Tu te fous que je pleure ; Tu as quelqu’un près de toi ; Tu te fous que je me meurs ; Quand tu glisses sous ces doigts ; Tu vois, tu me désespères … »
« Arrête Gabriel. »

Ledit Gabriel releva la tête, chassant les draps d'un lit salit par les galipettes d'un soir. Assis sur le matelas, une jeune femme jouait nerveusement avec sa chevelure blonde, l'entortillant entre ses doigts pour mieux la dérouler l'instant d'après. Elle fixait le vide en tremblant, l'homme ne sembla même pas le remarquer.

"Quoi ?"
"Je hais cette chanson."
"Pourquoi ?"
"Je n'aime pas la façon dont tu la chantes."

Long silence.

"Ah ?"
"Oui, il y a comme... une sorte de reproche dans le fond de ta voix. Tu t'adresses à moi ou c'est juste un truc que t'ont appris les types avec qui tu bosses à la fête foraine ?"

Un sourire, si grand, si candide. Gabriel se retourna et appuya son dos contre une des cuisses de sa camarade de chambrée, jouant lui aussi avec ses mèches blondes comme les épis de maïs. Les femmes sont malignes. Elles connaissent la réponse mais préfèrent poser des questions, pareilles à des idiotes un peu trop naïves. Le petit homme eut une moue résignée et murmura doucement :

"Oui ... ce sont eux qui me l'ont appris."


* * *


Rapport de l'inspecteur Brodek concernant le dossier Carnage. (2)
<< 'Carnage' - puisque c'est ainsi que nous devons le nommer à présent - n'agit sans aucune préméditation. S'il juge bon de faire sa loi, il la fait. Il vise des gens aux casiers vierges comme une fille de cinq ans et ne se soucit en aucun cas que la famille puisse être désespérée par la mort de leur proche.

On lui connaît un endroit de réconfort : une taverne près d'une fête foraine qui attire énormément de monde. Peut être est ce là qu'il trouve ses victimes.

Fin du rapport. >>

* * *


La neige tombait en copeaux de glace dans les rues et sur les toits des maisons. Ces dernières avaient l’air de grosses locomotives en béton ; leurs cheminées laissaient échapper une épaisse fumée grise qui remplissait le ciel d’un duvet à la couleur de l’argent. Les trottoirs étaient à présent recouverts d’une neige vierge, couche blanche pure qui contrastait avec la noirceur de la ville et transportait les quelques passants dans un vieux film muet. Il n’y avait pas un bruit, aucun murmure sauf peut être le gémissement plaintif du vent passant entre les enseignes des boutiques de la rue. Au loin, une église fit résonner ses cloches et leurs tintements s’évaporèrent dans les flocons de glace et le silence de la nuit.

Accoudé à l’unique fenêtre de son petit appartement, un homme fixait, d’un air aussi morose que le temps, les rues qui donnaient depuis son atelier. Son poing soutenait sans conviction une tête qui n’en avait guère plus. Il soupira dans un élan morne, ses broussailleux sourcils se soulevant mollement pour retomber sur un regard gris creusé par les cernes, les rides de l’âge et le temps qui passe contre le reflet de la vitre. La pièce où il était enfermé sentait la sueur et le feu de bois. Derrière lui, une cheminée peinait à raviver ses flammes.

Il n’y avait véritablement aucune animation ce soir de réveillon, sauf peut être la danse des flocons avec le vent et …

… une ombre.

Une ombre noire aux courbes musclées d’homme, dont la chevelure de suie était plus profonde encore que l’obscurité du porche où il s’était abrité. Les paupières du vieillard s’ouvrirent de surprise. Qu’était ce donc ? Un ange ? Un démon ? Un simple voyageur perdu ? Dans cette tenue ? Car en effet, il était vêtu d’une simple chemise remontée et d’un pantalon de toile noir. Ses bras nus ne semblaient pas être influencés outre mesure par le froid, il semblait même à l’aise, comme si le maître de l’espace, c’était lui. Depuis la fenêtre, l’homme ne pouvait distinguer son visage. La samba des flocons s’accentuait autour de mio alors qu’il tentait de discerner son regard.
Mais soudain, aussi silencieusement qu’il était apparu…

… il disparut.

Presque immédiatement, l’homme s’était levé. Le bruit de sa chaise et le crépitement du feu, c’est tout ce qui restait. Là, sous le porche, des empreintes légères marquaient la neige, seule preuve qu’il y avait vraiment eu quelqu’un. L’homme scruta les alentours, et les battements de son cœur résonnaient dans la pièce close où il se trouvait. Il n’avait pas pu disparaître ainsi, c’était impossible. La minute d’avant il était ici, bien vivante et…

Toc. Toc. Toc.

On frappa. Apeuré par le soudain bruit, l’homme mit un moment pour se retourner vers la porte, quand celle-ci s’ouvrit toute seule. Vraiment toute seule ?

« Auguste Bardolino ? »

Il acquiesa en silence. Devant lui, la haute silhouette noire le fixait de ses deux grands yeux métalliques. Sans un mot, le jeune homme aperçu au dehors souleva sa longue cape et laissa pendre le long de son corps un poignard d'une taille respectable. Le vieil homme se retint d’hurler, il semblait même attendre, attendre la mort. Ou son envoyé. La lame du poignard se pointa sur lui.

« Ad Vitam Aeternam. »

Et il le lança.


* * *



Rapport de l'inspecteur Kristel concernant le dossier Carnage. (3)
<< La surveillance de Gabriel Cardian est arrêtée suite à la mort accidentelle de l’inspecteur Brodek. Le bougre s’est enfoncé son couteau de cuisine dans l’œil en un geste désespéré. Une lettre a été signé à son nom sur la table de son bureau.

Fin du rapport. >>
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Gabriel Cardian

Gabriel Cardian


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MessageSujet: Re: Gabriel Cardian   Gabriel Cardian Icon_minitimeLun 14 Avr - 9:51

Voilà, c'est terminé =)
Je vais changer mon avatar sous peu, ce n'est donc pas étonnant si la description physique ne correspond pas ^_^
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Arachnea
As de Trèfle
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MessageSujet: Re: Gabriel Cardian   Gabriel Cardian Icon_minitimeLun 14 Avr - 15:49

Parfait ^^ !
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MessageSujet: Re: Gabriel Cardian   Gabriel Cardian Icon_minitime

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